Durant
deux semaines, 11 ados ont participé à l’opération «Été solidaire». Ils ont
très bien travaillé sur divers sites de la commune.
Nettoyer,
déménager, peindre, placer des clôtures, tondre, jardiner et même cimenter.
Voilà toutes les tâches qui ont été effectuées par les jeunes participant à
l’opération «Été solidaire». Ils étaient 11 avec une moyenne d’âge de 15-16
ans. La commune de Héron participe depuis le début. Pour remercier les jeunes
travailleurs, une petite réception a été organisée à la salle communale de
Waret-l’Evêque. Les parents étaient invités ainsi que le personnel communal du
service des travaux et du CPAS qui les ont encadrés.
Le
bourgmestre, Éric Hautphenne, a remercié tout le monde du très beau travail
effectué durant deux semaines. La salle de Waret se situe dans l’implantation
scolaire du village. Et c’est là qu’une partie de l’équipe a beaucoup
travaillé. «Et toujours au profit de la collectivité comme le souhaite la
Région wallonne au travers de cette opération», a souligné Éric Hautphenne.
Jennifer
Louis, coordinatrice de l’opération, a invité tout le monde à se rendre compte
du très beau boulot effectué. «Ils ont déménagé et repeint cette classe qui
va accueillir des maternelles. Ils ont remis en couleur également un petit
local et un couloir. Et à l’extérieur, les jeunes ont clôturé la petite plaine
de jeux près de la cour de récréation.»
Les
enseignantes et le comité scolaire étaient demandeurs. Tout le monde a été
surpris du résultat. La classe se décline en vert très vif et orangé, à la
demande de l’institutrice. Il faut souligner que le bâtiment est ancien et les
locaux sont assez hauts. Les jeunes ont donc beaucoup de mérite.
Les ados
ont aussi travaillé sur un autre site. Le CPAS possède une salle à Héron qui
est louée notamment par les joueurs de cartes. «Les jeunes ont tondu et
nettoyé les abords, rangé le hangar et recimenté le bas de la façade. Ils ont
fait du très bon travail et surtout beaucoup. L’opération “Été solidaire” ne se
déroule que sur deux semaines, ce qui ne fait finalement que 10 journées.»
Sources : l'Avenir